Environnement
Sur son lopin de terre de Sibérie, le paysan Pacôme vit avec sa femme et son fils. Il n'est pas riche mais il subvient aux besoins de sa famille. Cependant, Pacôme se sent à l'étroit. « Si seulement j'avais plus de terres, soupire-t-il en regardant par-delà la clôture, je pourrais être tout à fait h
Sur son lopin de terre de Sibérie, le paysan Pacôme vit avec sa femme et son fils. Il n'est pas riche mais il subvient aux besoins de sa famille. Cependant, Pacôme se sent à l'étroit. « Si seulement j'avais plus de terres, soupire-t-il en regardant par-delà la clôture, je pourrais être tout à fait heureux. » Un appétit, tant pour les terres que pour ce qu'elles rapportent, qui va aller grandissant...
D'après une nouvelle de Léon Tolstoï. Un air de lutte des classes pour commencer ce récit avec un riche bourgeois qui possèdent toutes les terres sans en laisser l'usage à ses voisins plus pauvres alors qu'il ne les utilisent pas. Mais également un air de questionnement sur la gestion des communs avec l'usage parcimonieux d'une terre pour les besoins primaires. Un air de critique du capitalisme et de l'appropriation des richesses outre mesure, plus que l'homme ne peut en gérer, l'envie de posséder davantage qui se fait toujours forcément au détriment de ses voisins. Une folie des grandeurs qui mènent parfois au pire.
D'après une nouvelle de Léon Tolstoï. Un air de lutte des classes pour commencer ce récit avec un riche bourgeois qui possèdent toutes les terres sans en laisser l'usage à ses voisins plus pauvres alors qu'il ne les utilisent pas. Mais également un air de questionnement sur la gestion des communs avec l'usage parcimonieux d'une terre pour les besoins primaires. Un air de critique du capitalisme et de l'appropriation des richesses outre mesure, plus que l'homme ne peut en gérer, l'envie de posséder davantage qui se fait toujours forcément au détriment de ses voisins. Une folie des grandeurs qui mènent parfois au pire.