Architecture
Patrimoine
Open-space, bureau paysager, espace partagé : il est partout... alors même qu'il est souvent décrié par ses utilisateurs. Pourquoi ce modèle d'organisation s'est-il imposé si largement ? A qui profite-t-il ? Faussement simple, transparent à l'excès, il contraint les individus, le management et le tr
Open-space, bureau paysager, espace partagé : il est partout... alors même qu'il est souvent décrié par ses utilisateurs. Pourquoi ce modèle d'organisation s'est-il imposé si largement ? A qui profite-t-il ? Faussement simple, transparent à l'excès, il contraint les individus, le management et le travail, et touche désormais les cadres, jusque-là épargnés. Si le design, le mobilier, les dispositifs phoniques permettent d'atténuer une inévitable promiscuité, et si les décors insolites et les toboggans viennent saupoudrer de fun les nouveaux espaces de travail, le mal semble plus profond.
Faut-il pour autant faire machine arrière et revenir aux bureaux individuels, avec portes et cloisons ? Nourrie d'observations in situ, la réflexion d'Elisabeth Pélegrin-Genel s'appuie sur sa longue expérience de l'open-space en tant que consultante en entreprise. Histoire, management, foncier, bien-être sont invoqués ici pour montrer que le modèle de l'open-space, longtemps considéré comme une évidence, vacille aujourd'hui face à la vague d'innovations qui déferle sur le monde du travail.
Mais peut-être reste-t-il quelque chose à en sauver ?
Faut-il pour autant faire machine arrière et revenir aux bureaux individuels, avec portes et cloisons ? Nourrie d'observations in situ, la réflexion d'Elisabeth Pélegrin-Genel s'appuie sur sa longue expérience de l'open-space en tant que consultante en entreprise. Histoire, management, foncier, bien-être sont invoqués ici pour montrer que le modèle de l'open-space, longtemps considéré comme une évidence, vacille aujourd'hui face à la vague d'innovations qui déferle sur le monde du travail.
Mais peut-être reste-t-il quelque chose à en sauver ?