Transition écologique
Confinements et états d'urgence accroissent la pression sur les espaces publics. Comment faire valoir et exercer nos droits de visite, de passage, d'usage des lieux de rencontre ? Alors que nous prenons chaque jour davantage conscience des interdépendances qui nous constituent, de quels droits au pa
Confinements et états d'urgence accroissent la pression sur les espaces publics. Comment faire valoir et exercer nos droits de visite, de passage, d'usage des lieux de rencontre ? Alors que nous prenons chaque jour davantage conscience des interdépendances qui nous constituent, de quels droits au paysage avons-nous besoin ?
Qui a droit au paysage ? À la perte accélérée de certains paysages répondent l'ouverture de points de vue décalés et le frayage de voies inédites. Certains milieux de vie – rivières, fleuves, bassins-versants, littoraux, montagnes ou marais – deviennent des êtres de droit. Par-delà les juristes et les concepteurs d'espaces, cette réflexion concerne un large public : institutions locales, étatiques et internationales, entreprises d'aménagement, de construction et de maintenance, militants écologistes, défenseurs des biens communs. Mais aussi les usagers des lieux publics que nous sommes tous, ou les scientifiques qui peinent tant à se faire entendre.
Qui a droit au paysage ? À la perte accélérée de certains paysages répondent l'ouverture de points de vue décalés et le frayage de voies inédites. Certains milieux de vie – rivières, fleuves, bassins-versants, littoraux, montagnes ou marais – deviennent des êtres de droit. Par-delà les juristes et les concepteurs d'espaces, cette réflexion concerne un large public : institutions locales, étatiques et internationales, entreprises d'aménagement, de construction et de maintenance, militants écologistes, défenseurs des biens communs. Mais aussi les usagers des lieux publics que nous sommes tous, ou les scientifiques qui peinent tant à se faire entendre.