Urbanisme
Ces "Lettres sur l'urbanité Française" ont été écrites d'une seule main à partir d'entretiens très divers d'hommes et de femmes venus d'horizons lointains, de cultures éloignées de la nôtre, pour vivre en France.
Ces femmes et ces hommes venus d'Afrique, d'Asie, de Scandinavie, d'Amérique du Nord et
Ces "Lettres sur l'urbanité Française" ont été écrites d'une seule main à partir d'entretiens très divers d'hommes et de femmes venus d'horizons lointains, de cultures éloignées de la nôtre, pour vivre en France.
Ces femmes et ces hommes venus d'Afrique, d'Asie, de Scandinavie, d'Amérique du Nord et du Sud, d'Europe de l'Est, de Chine ou du Moyen-Orient, y parlent des murs de nos cités, de nos architectures anciennes et modernes, de leur rencontre avec les hommes qui y vivent, de leurs regards, de leurs façons d'habiter ensemble dans ces espaces que l'on dit urbains, dans cette confrontation permanente qui suppose ces mœurs particulières que les Romain appelaient "urbanité".
Se souvenant de leurs impressions, ils nous révèlent par le croisement de leurs regards le vrai visage de notre société, tel que nous-mêmes ne pouvons jamais le voir. Ces jugements, que nous renvoient alors ceux qu'habituellement nous jugeons à partir de nos valeurs, nous permettent, en nous mettant un instant à leur place, de nous remettre à la nôtre. Corrigeant notre incorrigible logocentrisme français, ils permettent d'éclairer d'un jour nouveau les termes de "liberté", d'"égalité", et de "fraternité", inscrits aux fondements de notre république et aux frontispices de nos cités.
Ils nous portent enfin à nous poser la question de l'ouverture même de notre "monde" à l'autre, à l'étranger, nous renvoyant par le jeu d'un renversement de perspective à l'absurdité profonde et appauvrissante de toute discrimination.
Ces femmes et ces hommes venus d'Afrique, d'Asie, de Scandinavie, d'Amérique du Nord et du Sud, d'Europe de l'Est, de Chine ou du Moyen-Orient, y parlent des murs de nos cités, de nos architectures anciennes et modernes, de leur rencontre avec les hommes qui y vivent, de leurs regards, de leurs façons d'habiter ensemble dans ces espaces que l'on dit urbains, dans cette confrontation permanente qui suppose ces mœurs particulières que les Romain appelaient "urbanité".
Se souvenant de leurs impressions, ils nous révèlent par le croisement de leurs regards le vrai visage de notre société, tel que nous-mêmes ne pouvons jamais le voir. Ces jugements, que nous renvoient alors ceux qu'habituellement nous jugeons à partir de nos valeurs, nous permettent, en nous mettant un instant à leur place, de nous remettre à la nôtre. Corrigeant notre incorrigible logocentrisme français, ils permettent d'éclairer d'un jour nouveau les termes de "liberté", d'"égalité", et de "fraternité", inscrits aux fondements de notre république et aux frontispices de nos cités.
Ils nous portent enfin à nous poser la question de l'ouverture même de notre "monde" à l'autre, à l'étranger, nous renvoyant par le jeu d'un renversement de perspective à l'absurdité profonde et appauvrissante de toute discrimination.