Transition écologique
Société
Il s'agissait de repérer des expériences vécues et de les mettre en lumière : en partant des pratiques des individus, on peut construire ensemble un savoir collectif.
RELIER a donc mobilisé des compétences : 4 artistes, 4 architectes, 6 praticiens de sciences humaines et un urbaniste. Ensemble, ils
Il s'agissait de repérer des expériences vécues et de les mettre en lumière : en partant des pratiques des individus, on peut construire ensemble un savoir collectif.
RELIER a donc mobilisé des compétences : 4 artistes, 4 architectes, 6 praticiens de sciences humaines et un urbaniste. Ensemble, ils ont travaillé autour de 13 monographies, ou portraits de lieux, avec l'intention de constituer un recueil d'expériences exemplaires.
En rencontrant des personnes qui ont choisi leur lieu de vie, RELIER s'emploie à mieux connaître d'une part les attentes des porteurs de projet et des nouveaux arrivants vis?à?vis de leur habitat, et d'autre part les stratégies des territoires du Massif Central relatives à l'accueil de nouvelles populations et au logement.
A l'occasion d'une visite de trois jours, le trio artiste/architecte/sociologue a vécu le lieu, pris le temps de partager et d'échanger. La complémentarité entre regards extérieurs et regards des habitants fut très intéressante. Les treize lieux visités pour ce travail ont tous en commun : une situation rurale ou péri urbaine, un lien entre l'environnement, le territoire et les habitants, le choix de la personne, famille ou collectif d'y vivre, une dimension sociale dans les activités ou l'organisation de la vie quotidienne, une priorité donnée aux ressources locales pour construire et/ou faire vivre le lieu et les activités, une organisation financière accessible.
Une fois réunis, ces portraits reflètent un éventail de réalisations, dans des contextes très différents. Cette complémentarité entre les alternatives expérimentées devrait pouvoir nous inspirer : il y a des lieux de vie collectifs mais aussi individuels ou familiaux, où l'habitat est couplé ou non avec une activité. Dans certains cas l'habitat est construit ex?nihilo, dans d'autres il naît d'une réhabilitation. On compte des lieux isolés, d'autres en situation de voisinage, conçus avec ou sans l'implication des collectivités territoriales et des habitants déjà installés.
RELIER a donc mobilisé des compétences : 4 artistes, 4 architectes, 6 praticiens de sciences humaines et un urbaniste. Ensemble, ils ont travaillé autour de 13 monographies, ou portraits de lieux, avec l'intention de constituer un recueil d'expériences exemplaires.
En rencontrant des personnes qui ont choisi leur lieu de vie, RELIER s'emploie à mieux connaître d'une part les attentes des porteurs de projet et des nouveaux arrivants vis?à?vis de leur habitat, et d'autre part les stratégies des territoires du Massif Central relatives à l'accueil de nouvelles populations et au logement.
A l'occasion d'une visite de trois jours, le trio artiste/architecte/sociologue a vécu le lieu, pris le temps de partager et d'échanger. La complémentarité entre regards extérieurs et regards des habitants fut très intéressante. Les treize lieux visités pour ce travail ont tous en commun : une situation rurale ou péri urbaine, un lien entre l'environnement, le territoire et les habitants, le choix de la personne, famille ou collectif d'y vivre, une dimension sociale dans les activités ou l'organisation de la vie quotidienne, une priorité donnée aux ressources locales pour construire et/ou faire vivre le lieu et les activités, une organisation financière accessible.
Une fois réunis, ces portraits reflètent un éventail de réalisations, dans des contextes très différents. Cette complémentarité entre les alternatives expérimentées devrait pouvoir nous inspirer : il y a des lieux de vie collectifs mais aussi individuels ou familiaux, où l'habitat est couplé ou non avec une activité. Dans certains cas l'habitat est construit ex?nihilo, dans d'autres il naît d'une réhabilitation. On compte des lieux isolés, d'autres en situation de voisinage, conçus avec ou sans l'implication des collectivités territoriales et des habitants déjà installés.